ritakml

I met my biggest enemy: Me.

It almost made me lose an excellent friend; the one person that brightens my day. Fear took me from me and made act the way I don’t act usually. That hurt him. Fear of loosing my friend almost made me lose my friend…how ironic.

I officially hate me. I got drunk and went to bed with eyes full of tears and remorse. I almost lost a treasure!.

When you care for your friend, don’t fear for him. Do not attempt to help him without explicitly telling him you will do so; don’t think you are doing him a favor, he will feel stabbed in the back… It’s not the last thing you want…It’s the one thing you DON’T want!

I learned my lesson, I pray he will forgive my weakness…

Je suis ta compagne de tous les instants. Je peux être ta meilleure alliée comme ta pire entrave. Je peux te propulser vers la réussite comme te faire rouler dans le caniveau. Je suis à tes ordres, totalement dévouée. Délègue-moi la moitié des choses et ne t’en soucie plus: je les gèrerai avec rapidité et efficacité.

Montre-toi ferme à mon égard, et je serai docile. Montre-moi ce que tu veux avec précision, et en quelques leçons, je pourrai l’exécuter comme un automate. Je suis au service de tous les grands de ce monde, ainsi, hélas, qu’à celui de tous les ratés! Les grands, j’en ai fait des grands. Les ratés, j’en ai fait des ratés.

Je ne suis pas une machine. Et pourtant, je fonctionne avec toute la précision d’une machine, l’intelligence humaine en prime. Utilise-moi comme il te plaira: à ton avantage, ou pour courir à ta perte. Cela m’est parfaitement égal.

Prends-moi, cadre-moi, corrige-moi, et je metterai le monde à tes pieds. Laisse-moi faire, et je t’anéantirai.

Qui suis-je?

Personne n’est parfait.
Pardonne les erreurs.
Tu auras le cœur frais,
Et tu vaincras tes peurs.

Dans un cœur en guerre,
L’amour est impossible.
Fais la paix mon frère,
Tu seras invincible.

A la loi du Talion,
Tu dois couper l’haleine.
Renforce ton maillon,
Pour souder la chaîne.

Dans un cœur en guerre,
L’amour est impossible.
Fais la paix mon frère,
Tu seras invincible.

La paix intérieure,
Te rendra plus serein.
Tu seras meilleur,
Et maître de ton destin.

Dans un cœur en guerre,
L’amour est impossible.
Fais la paix mon frère,
Tu seras invincible.

Mettons en commun,
Nos idées et nos mains.
Trouvons des compromis.
Apaisons notre esprit,
Pour vivre dans la paix,
Pour vivre en liberté.

Un peu de toi,
Un peu de moi,
Et tout sera clair.

Soldats de la connaissance,
Guerre contre l’ignorance.
Notre arme c’est la prière.
Notre camp est sans frontière.
L’égoïsme est notre ennemi,
Dans le partage, il est sans vie.

Un peu de toi,
Un peu de moi,
Et tout sera clair.

Il n’est donné à personne de dormir sur ses lauriers;
Ils peuvent à tout moment partir en fumée.
Il n’est donné à personne de se sentir en sécurité;
Elle peut à tout moment s’effondrer.
Il n’est donné à personne de tuer;
Quelque soit le motif, c’est un crime contre l’humanité.

Que de sang innocent répandu en silence!
Quelles valeurs inculquer à l’enfance?
Quel modèle faire suivre à l’adolescence?

Des voyants aveugles, des orateurs muets, des auditeurs sourds.
Ils n’agissent pas.
Ils ont signé un contrat,
Rendant le fardeau encore plus lourd
Et l’Histoire qui ne finit plus de se répéter,
Du monde a fait le quart de tour.

Je t’avais brisé le cœur,
Piétiné ma pauvre fleur.
Effacée par la douleur,
Mon âme fuit et moi je meurs.

Victime de ce pur hasard?
D’un crime, de cette magie noire?
Cette buée, ce lourd brouillard,
Ont brulé tous mes espoirs.

Des larmes sont tombées;
C’était toi qui pleurais.
Et moi à tes côtés,
Mais tu ne le croyais.

Je suis là, je n’ai pas cru,
Que privé de ta tendresse,
La vie n’est qu’une chose qui blesse.
Je t’en prie, je n’en peux plus.

Viens me dire que tu pardonnes
A mon corps inanimé
A mon cœur qui se détrône;
Un menhir, tu détruirais.

Vers l’autre côté de la méditerranée,
Dorment les rêves qui occupent mes pensées.
Le regard jeté par la fenêtre le soir,
Veut soustraire tant de distance dans le noir.

A la recherche d’un souffle de vérité,
L’écoute d’un battement de sincérité,
Mon cœur ferait le tour de tous les continents;
Désirant semer la confiance dans tout moment.

La joie infinie et le bonheur éternel,
Habitent avec le grand amour atemporel.
A pieds j’irai, pour jalousement les garder,
Vers l’autre côté de la méditerranée.

As-tu du temps à me donner?
Quelques minutes à consacrer?
Pour m’observer, pour me toucher,
Pour me humer, pour m’écouter.

Vois-tu? J’ai besoin de grandir,
Tout près du parfum de ton corps.
Je ne sais à quoi m’en tenir,
Avec toi et tes règles d’or.

C’est à peine si tu m’effleures,
De ton doigt qui tremble de peur.
Et ton regard se pose ailleurs,
Loin des battements de ton cœur.

Mais ce dernier est plein de honte,
D’une colère qui le dompte.
Tu ne veux pas m’aimer. Pourquoi?
Maman, maman, dis moi pourquoi?